Rien à voir avec le Vin de paille de Tain l’Hermitage et pas davantage avec ce Vin paillé de Beaumont-du-Ventoux Non ! Rien à voir avec ces volutes odorantes d’un extrait de ces récoltes de la vallée de la Semois en Belgique, si connues de nos fumeurs… Non ! Rien à voir avec ces tas de fourrage de printemps derrière lesquels « Mon Oncle Benjamin » aimait à batifoler… Non ! Et pourtant… Souvenirs, souvenirs… ! Et pas plus à voir avec ces résidus de Pin (plante) que d’aucun utilisent pour pailler leurs massifs… Non ! Et pourtant… Tous ces éléments naturels ont quelque chose en commun que les colombophiles connaissent bien. Les uns auront fait
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le choix de la paille, certainement le plus économique pour remplir les fonds des nids, d’autres auront préféré introduire cette odeur typique des feuilles et tiges de tabac, dont on se plaît à dire qu’elles auraient une action antiparasitaire, ce qui est certainement vrai. D’autres encore porteront leur préférence sur une récolte de tiges de graminées porteuses des airs de printemps. De mon côté, j’ai porté mon dévolu sur les aiguilles de pin et je vais vous en donner la simple raison que les quelques photos ci-dessous tenteront de vous montrer..
Entre une tige de paille ou de foin et même entre ces deux dernières, une tige de tabac, et un aiguille de pin, toute la différence réside dans le refuge que certaines d’entre elles constituent pour la vermine, les parasites et insectes gros ou petits, de tous ordres, vers de farine ou vers de bois qui viennent se tenir au chaud, là où la pigeonne couve ses œufs, puis plus tard, là où ses petits tenteront d’évoluer du mieux qu’ils pourront au milieu de toute cette faune avide de tant de bonnes choses que nous mettons à disposition de nos pensionnaires. Eux sont véritablement les pensionnaires parasites dont je n’ai que faire dans mes nids et moins je les vois, mieux s’en portent mes pigeonneaux. Véritables tunnels servant de refuges à tout ce petit monde, les fétus de paille, les foins odorants et autre feuilles et tiges creuses doivent impérativement être bannies des nids de vos pensionnaires. L’aiguille de pin, outre ses qualités odorantes de sève de pin dont les vertus médicinales ne sont plus à prouver, aura votre préférence dans tous les cas de figure. On peut la stocker dans des sacs en papier ouverts, elle ne retient pas l’humidité et ne l’attire pas davantage et puis, raisonnons naturel : sous un tapis d’aiguilles de pin, rien de pousse : pas de végétation, pas davantage de ces insectes qui courent les campagnes, et… sus aux parasites de tous ordres. Pour ma part, j’ai même choisi d’en étaler un bon tapis disponible à volonté, à proximité immédiate du bain journalier aux extraits secs de sève de pin (tiens, tiens !!!), tout à côté du spoutnik. A chacun ses choix. Le mien est naturel… du moins je le crois !